DES OPPOSANTS IRANIENS VIOLES EN PRISON
DES OPPOSANTS IRANIENS VIOLES EN PRISON
L'opposant a fait état de ces violences dans une lettre adressée il y a dix jours à un organe officiel d'experts, dirigé par l'ancien président Akbar Hashemi-Rafsanjani, lui-même membre de l'opposition. En l'absence de réponse, il a publié la lettre sur le site de son parti, Etemad Melli.
Les manifestations post-électorales en Iran ont conduit à l'arrestation d'un millier de personnes, dont une centaine sont toujours emprisonnées. Certains étaient incarcérés dans la prison de Kahrizak, située au sud de la capitale et appelée "la Guantanamo de Téhéran". Cette prison a été fermée le mois dernier.